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Hector Berlioz: Feuilletons

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FEUILLETON DU JOURNAL DES DÉBATS

DU 6 NOVEMBRE 1862 [p. 1-2].

Nouveau Théâtre-Lyrique.

SOIRÉE D’INAUGURATION.

    Il s’agissait de juger le contenant et le contenu : une salle neuve et un personnel musical sinon tout neuf, au moins en partie renouvelé par les soins d’un nouveau directeur, M. Carvalho. La salle est un monument isolé sur la place du Châtelet, au bord de la Seine. Obligé que je suis de distribuer tous les ans, sans connaissance de cause, des prix d’architecture, j’aurais ce qu’on appelle le droit de donner avec aplomb mon opinion sur les qualités et les défauts du nouvel édifice ; et comme l’architecte, M. Davioud, est un homme fort poli, il s’abstiendrait probablement de me rire au nez quand il me rencontrera ; mais je ne suis pas forcé de courir cette chance. Je me bornerai à dire tout simplement : Ce théâtre me paraît fort beau à l’extérieur, plus beau encore à l’intérieur, élégant, splendide, décoré avec goût, et, ce qui m’intéresse davantage, d’une bonne sonorité, point trop sèche ni trop criarde. Affirmer qu’il n’y a pas d’échos dans quelque point de la salle, je ne le puis, n’ayant point encore étudié toutes les places ; mais je n’ai entendu personne se plaindre de ce défaut.

    Les loges sont commodes et meublées confortablement. Le nouveau système d’éclairage, sans lustre apparent, donne une belle lumière assez semblable à celle du soleil couchant par un beau soir d’été. Des spectateurs placés aux troisièmes loges se sont plaints seulement d’éprouver une chaleur violente causée par le voisinage du nouvel appareil. D’autres regrettent le lustre et l’air de fête que le scintillement de ses cristaux répand dans les temples de l’harmonie et du plaisir. Ce regret sera partagé par la plupart des habitués des premières et des secondes loges mais non par ceux des troisièmes, et moins encore par ceux des quatrièmes qui ne craignent pas trop la chaleur, le lustre interrompant le rayon visuel de toute cette catégorie de spectateurs.

    On ne peut contenter tout le monde et son père.

    L’orchestre m’a semblé bien disposé, et de façon à ce que les musiciens et leur chef se trouvent en relations faciles avec la scène. La salle n’est point trop vaste ; ses dimensions égalent à peu près celles du Théâtre-Français. Ce sont précisément les dimensions qui m’ont toujours paru désirables pour un théâtre lyrique. Les chanteurs n’y auront pas plus de prétexte pour crier, que les compositeurs pour écrire des partitions fracassantes et pour employer stupidement partout la grosse caisse. Voilà donc, à mon avis, un nouveau théâtre excellent pour la musique, et j’avoue que je voudrais bien en avoir un pareil à ma disposition, pour y faire entendre quelquefois les chefs-d’oeuvre de l’art fidèlement exécutés.

    Quant à la tâche d’y donner de bonnes représentations quotidiennes, d’y faire chaque jour de bonne musique comme on fait chaque jour de bonne cuisine dans certains restaurans, elle m’a toujours semblé impossible, et je plains sincèrement le directeur artiste qui l’a acceptée. Cette obligation de servir chaque soir au public, c’est-à-dire aux oisifs, aux ennuyés errans dans Paris une pot-bouille musicale quelconque, est le symptôme le plus évident non pas de la barbarie dans laquelle nous sommes tombés, mais de la barbarie dans laquelle nous sommes restés. Le public vague, celui qui va dans les théâtres, ne sait pas plus ce qu’est la musique qu’il n’a d’idée d’une véritable émotion musicale. Il mange tout ce qu’on lui donne ; son dîner à 3 fr. 50 c. avec un carafon de vin et le dessert lui paraît exquis tant que le pain ne contient pas trop de gravier, que le bifteck n’est pas trop dur et que les pommes du terre n’ont pas été malades. Et l’on peut sûrement lui appliquer cet ingénieux septuor de calembours sur les jours de la semaine :

L’un dit et l’autre m’a redit :
Mange-tu maigre : dis !
Je dis :
Je mange ce que le ventre dit ;
Et ça me dit : Mange !

    Pourtant la comparaison manque de justesse en ce point que le public veut absolument pouvoir dîner tous les jours, et qu’il n’éprouve pas le moins du monde le besoin d’entendre tous les jours de la musique. Cette soirée d’inauguration du nouveau Théâtre-Lyrique a fourni une preuve manifeste de sa tiédeur musicale. On l’avait annoncée par des affiches grandes comme deux portes cochères ; le programme se composait d’une salle neuve à voir (ce qui est, on le sait, un attrait puissant pour ce public musical), d’une olla podrida de cinquante espèces de gibier, d’une bouille abaisse, de vingt-cinq espèces de poisson, d’une gerbe de splendides fleurs, d’un hymne composé pour la circonstance par M. Gounod et chanté par tout ce que le ciel et la terre, les eaux et les bois peuvent offrir de dieux et de déesses, de demi-dieux, de nymphes, de sirènes, de dryades, d’hamadryades, de satyres, de faunes et de sylvains ; le programme promettait encore un morceau de Bach orné d’une suave mélodie par M. Gounod, exécutée par dix soprani qui avaient juré de chanter à l’unisson, avec accompagnement de deux orgues d’Alexandre, de quatre violonistes célèbres, de deux organistes célèbres, de deux pianistes célèbres, de trois harpistes célèbres (parmi lesquels Godefroid, rien que cela !) et de l’orchestre entier entrant au bout du crescendo. L’affiche disait : « Vous aurez de plus de grands morceaux d’orchestre, de petits morceaux de chant, des fragmens d’opéras familiers, des lambeaux d’opéras épiques ; Battaille dira le bel air du cardinal dans la Juive, Mme Cabel vous chantera son nouvel air des Fraises, Mme Carvalho murmurera son poétique morceau de l’Abeille, son chef-d’oeuvre,

L’harmonieux Orphée y doit jouer son rôle,
Et Sainte-Foy lui-même a donné sa parole. »

    Eh bien, toutes les places étaient louées ou acceptées, il est vrai, mais l’empressement de les occuper était si modéré, qu’à neuf heures et demie un grand nombre de stalles et quelques loges étaient encore vides. Tuez-vous donc, perdez le boire, le manger et le dormir, suez le sang et le vitriol, pour composer un tel programme, pour concilier tous ces amours-propres dévorans, pour braver toutes ces récriminations furibondes, pour essuyer toutes ces larmes d’indignation, faites-vous traiter de scélérat, de drôle, d’intrigant, d’homme partial et vénal, de despote, de tyran peu délicat, de… directeur, par tant de virtuoses et d’artistes, et vous aurez le plaisir, à dix heures du soir, de voir entrer dans votre théâtre, dans votre théâtre neuf et paré comme une châsse, des gens nonchalans qui, le cure-dents à la main et jetant sur le seuil un bout de cigare, demanderont : « Où en est-on ? Combien y a-t-il de morceaux d’exécutés ? — Neuf ou dix. — En ce cas, nous n’avions pas besoin de nous presser. Je suis fâché d’avoir jeté mon cigare ! »

    Quand, après cela, on n’envoie pas sa canne au ministre, c’est qu’on est né pour être tambour-major. A dix heures pourtant la salle était pleine et offrait un coup d’œil magnifique. L’hymne de M. Gounod est d’une belle facture, d’un style généralement noble et digne ; le premier solo, supérieurement chanté par Mme Carvalho, est charmant ; le passage récité au grave par Mme Viardot forme un enchaînement de magnifiques harmonies richement instrumentées, le petit duo dévolu à Mmes Cabel et Faure-Lefebvre me plaît moins. En somme ce chant d’inauguration a produit un bel effet et me semble supérieur de beaucoup à ce que les compositeurs ont fait de mieux en pareille circonstance.

    Après ce bel ensemble vocal et instrumental, s’est déroulé le vaste programme avec des chances diversement heureuses. Il y a eu le succès, des demi-succès, des quarts de succès, des ombres de succès et des insuccès. Il faut dire que ces dames se sont montrées fort modestes pour les bouquets ; c’est à peine si elles s’en étaient occupées ; la plupart même ne s’en étaient pas occupées du tout. C’est un tort. La célèbre jeteuse de fleurs, Mme Rosenhain, serait-elle malade ? Qui donc a obtenu le succès ? me direz-vous. — Ah ! votre question est indiscrète ; me croyez-vous assez ennemi de la lumière pour vous répondre ? Je ne suis pas un directeur, obligé par état de se faire arracher les yeux.

    L’orchestre était bien composé ce jour-là, espérons que M. Carvalho ne tiendra aucun compte des usages établis depuis deux ans au Théâtre-Lyrique, et que son orchestre sera bien composé tous les jours. La masse des instrumens à cordes serait suffisante s’il y avait un violoncelle et une contre-basse de plus. L’ouverture d’Obéron a été exécutée avec verve sous la direction de M. Deloffre. La mélodie en la majeur du milieu de l’allegro seulement a souffert presque autant que nous de la discordance de la première clarinette, qui se trouvait d’un quart de ton au-dessous du reste de l’orchestre.

    M. Deloffre a cru devoir recommencer cette admirable ouverture parce que six amateurs l’ont redemandée. Je conçois qu’on aime à entendre deux fois, trois fois de suite un si beau morceau ; mais ce bis un peu trop zélé a fait rire le public qui ne redemandait rien. Il ne faut pas exposer les chefs-d’oeuvre à de pareils affronts. Le chef de claque du Théâtre-Lyrique n’est pour rien là dedans sans doute ; il sait bien qu’il y a des choses qui ne peuvent pas se faire. Moi qui ai admiré le grand Auguste et qui fus jadis honoré de son amitié, j’ai pu apprécier sa prudence et son instinct de l’à-propos ; je l’ai vu résister à un homme irrésistible, quand cet incomparable directeur de l’Opéra demandait des choses qu’il avouait lui-même être dangereuses. — « Dangereuses ! répliquait Auguste, dites donc, Monsieur, impossibles, Monsieur. Cela, Monsieur, ne-peut-pas-se-fai-re ! » Et il ne le faisait pas. Il est vrai que c’était alors le siècle d’Auguste, et que depuis cet illustre chef, l’art de la claque s’est abâtardi avec l’art du chant. Voyez l’injustice du sort, ce grand art de la claque florissait alors qu’il était presque inutile, et aujourd’hui qu’il serait si nécessaire, il dépérit.

    Assez sur ce triste sujet. L’orchestre du nouveau Théâtre-Lyrique est donc, comme je le disais tout à l’heure, bien composé ; je ne lui recommande que trois choses et je les lui recommande très instamment : regarder le plus souvent possible le bâton conducteur, être toujours bien d’accord et ne pas préluder pendant les entr’actes. On avait promis au public un fragment de la Statue, de M. Reyer, mais un enrouement subit de Monjauze en a rendu la représentation impossible. Monjauze n’en a pas moins reparu dans le défilé de la fin pour recevoir du public les chaleureux applaudissemens qu’il avait le droit d’attendre.

    Maintenant que le théâtre est ouvert et que son nouveau directeur, informé mieux que personne des difficultés d’une telle entreprise, se dévoue aux travaux nécessaires pour le faire prospérer, sera-t-il permis de dire qu’il y a presque de l’inhumanité à laisser sans aide et sans appui un dévouement semblable ? Le Théâtre-Lyrique, on l’a toujours dit, est destiné à représenter les œuvres des jeunes compositeurs (on eût dû ajouter français), à faire connaître surtout les lauréats revenus de Rome. L’expérience a prouvé qu’il n’y avait guère de succès d’argent possibles qu’avec des ouvrages signés d’un nom célèbre, ou plutôt avec des ouvrages déjà consacrés par une longue célébrité, c’est-à-dire par les chefs d’œuvre de l’ancien répertoire. Sans Obéron, Orphée, le Mariage de Figaro, Euryanthe, Abou-Hassan, l’Enlèvement, le Théâtre-Lyrique eût été fermé depuis longtemps. L’expérience prouve en outre que les frais d’un théâtre lyrique augmentent chaque jour avec une effrayante rapidité.

    Le public n’a jamais dit qu’il consentait à se constituer en jury pour juger les œuvres des compositeurs commençans ; le public n’est pas disposé à payer pour exercer ces fonctions musicales, et je ne sais s’il les accepterait en étant payé, même si chacun des membres de ce jury pouvait dire, comme un membre de l’Institut ou le sous-lieutenant de la Dame blanche :

Douze cents francs d’appointemens !
Et l’on ne dira pas que je fais des folies,
Car j’achète un chapeau sur mes économies.

    Le publie ne paie que quand il croit acheter du plaisir ; il se moque des intérêts de l’art ; et quand on lui dit : C’est un jeune homme qui arrive de Rome. — Eh bien! qu’il y retourne, répond-il brutalement. — Un compositeur qui donne des espérances. — Qu’il les réalise ! et nous verrons ensuite.

    Tant que le Théâtre-Lyrique a voulu se renfermer dans sa spécialité officielle et produire uniquement de jeunes compositeurs, il a fait des pertes énormes. Son premier directeur, Adolphe Adam, s’y est ruiné ; le second, M. Seveste, de même ; le troisième, M. Carvalho, bien qu’il eût appelé à son aide Mozart, Gluck, Weber et Beethoven, en est sorti honorablement avec une perte de quelque vingtaine de mille francs ; le quatrième, M. Rety, a dû abandonner la direction, chargé d’une dette effroyable. Maintenant M. Carvalho ose de nouveau affronter les dangers d’une telle entreprise, n’ayant pour fond solide de son répertoire que des chefs-d’oeuvre dont la vogue est épuisée, dont le public est las !

    Et on le laisserait sans subvention d’aucune espèce ! Ce n’est pas possible. Mieux eût valu déclarer le Théâtre-Lyrique inutile et s’opposer à sa réouverture. Non, espérons qu’on se rendra à l’évidence, et que la ville de Paris finira, avant qu’il soit trop tard, par faire à l’habile directeur la remise des frais considérables qu’elle l’oblige à payer pour le loyer de la salle, frais excessifs et qui l’écraseront toujours. N’est-ce pas assez que la ville de Paris lui prenne le onzième de ses recettes brutes pour l’entretien des hospices ? Et faudra-t-il qu’il paie encore la ville de Paris pour avoir l’honneur de contribuer à l’entretien des établissemens de bienfaisance de cette même ville de Paris ?

Histoire de la musique sacrée en Russie.

    L’Histoire de la musique sacrée en Russie par le prince N. Youssoupoff, est un ouvrage consciencieusement fait, dans lequel l’auteur a voulu donner une idée de la façon dont la musique religieuse s’est introduite dans son pays, des modifications qu’elle a subies et des causes qui en ont arrêté le développement alors qu’il devenait manifeste. Il attribue aux Grecs du Bas-Empire les premières notions que le peuple russe a reçues de cet art, et au défaut d’écoles, de conservatoires, à l’absence totale d’enseignement régulier, le peu de diffusion des connaissances musicales dans le vaste empire de Russie.

    L’auteur donne des détails curieux sur la passion dont l’aristocratie russe a été saisie pour la musique à une époque peu éloignée de nous. « Tout le monde s’en occupait, dit-il ; tout le monde voulait en faire soi-même ou en entendre exécuter par d’autres.

    » On pourrait croire que le développement de la musique avait pris chez nous une extension très grande. Il n’en était rien cependant. Les amateurs disparurent ; les orchestres, les solistes, les chanteurs se dispersèrent, et de cette prodigieuse quantité de musiciens il ne reste plus aujourd’hui que mon orchestre et les chantres du comte Chérémétieff. Je ne fais pas d’oubli en gardant le silence sur les chantres de la cour ; car ces chantres n’appartiennent pas au domaine public, ils sont spécialement attachés au service de l’empereur. Leurs magnifiques voix et leur parfaite méthode pour le chant religieux sont connues de l’Europe entière, qui sait en apprécier le mérite. »

    L’auteur avoue que l’art du compositeur national, comme il l’entend, dans le sens le plus étendu, n’existe réellement pas en Russie.

    « Depuis un siècle environ, ajoute-t-il, les auteurs en musique ne se sont presque pas occupés de la phrase nationale. Les partitions de Haydn, de Mozart, de Mendelssohn, de Bellini, etc., servent toujours de modèles et de point de départ aux aspirans au titre de maestro, modèles parfaits, sans doute, et à suivre comme étude préparatoire ; mais s’y attacher au point de laisser pousser des racines profondes au principe étranger, c’est étouffer le principe national. Glinka, cet homme d’un rare et vrai talent, auquel l’Europe entière rend justice pour ses œuvres remarquables, telles que la Vie pour le Tsar, Rouslane et Ludmila, et d’autres compositions détachées, d’une instrumentation toujours soignée et faite en connaissance de cause ; Glinka lui même, malgré tous les efforts qu’il a faits pour rendre sa musique nationale, n’y a pas réussi ; ses compositions gardent une teinte de la musique allemande. »

    Il faut regretter la réserve que le prince Youssoupoff a cru devoir garder au sujet des chantres de la cour impériale russe, et l’erreur qu’il partage avec beaucoup de ses compatriotes sur le degré de célébrité où est parvenue en Europe cette merveille musicale. L’auteur ne fût pourtant pas sorti du cercle dans lequel il a voulu se renfermer en donnant quelques détails spéciaux sur l’origine, le développement de cette institution, et surtout sur le genre d’enseignment que reçoivent ces chantres et qui amène de si étonnans résultats. Il croit cela connu de tout le monde ; il se trompe fort, et nous pouvons certifier qu’à part les quelques artistes voyageurs qui ont entendu les chantres de la cour et ceux de M. le comte Chérémétieff à Saint-Pétersbourg, personne en France ne se doute de la perfection avec laquelle ces groupes de chanteurs sont parvenus à exécuter, non seulement des chants doux et lents, mais même des fugues doubles à huit parties, d’un mouvement vif et d’un dessin fort compliqué et sans accompagnement. C’est la vraie gloire musicale de la Russie, c’est l’exécution chorale arrivée à un degré de beauté dont nulle part ailleurs on ne saurait avoir une idée. Toutes les personnes qui ont pu entendre ces chantres incomparables avouent qu’il les ont plongées dans une sorte d’extase que la musique a bien rarement fait naître en elles, et qui, certes, est encore inconnu de la plupart des gens avides de ce genre d’émotions.

    Nous ne pouvons qu’engager le prince Youssoupoff à combler cette lacune quand il publiera la seconde partie de sa belle étude sur la musique russe.

    A part quelques passages où le vague de certaines expressions rend la pensée de l’auteur obscure, cet ouvrage est écrit d’une façon élégante et correcte ; la sincérité de l’historien d’ailleurs et son amour de l’art s’y manifestent partout.

HECTOR BERLIOZ.

Site Hector Berlioz créé le 18 juillet 1997 par Michel Austin et Monir Tayeb; page Hector Berlioz: Feuilletons créée le 1er mars 2009; cette page ajoutée le 20 mai 2009.

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