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FEUILLETON DU JOURNAL DES DÉBATS

DU 29 JUILLET 1846 [p. 1-2]

FESTIVAL MILITAIRE

DONNÉ DANS L’HIPPODROME PAR L’ASSOCIATION DES ARTISTES MUSICIENS.

    Les artistes musiciens, en se réunissant en société, semblent avoir pris pour devise : « Aide-toi, le ciel ne t’aidera pas. » Après des années de réclamations, de sollicitations, de plaintes, d’efforts individuels inutiles, le jour est venu où ils ont compris que l’impossible pour un, pour deux, pour quatre, pour vingt, pour cent, devenait le possible pour dix mille, et que si, agissant avec unité, en faisceau compact, ils travaillaient avec la ferme conviction que le ciel ne les aiderait pas, ils seraient obligés d’employer tant de force, d’intelligence et d’activité, qu’il n’y avait guère d’obstacles capables de leur résister et de vaincre leur constance. Les musiciens en France sont les parias de l’art ; eux seuls sont soumis à des impôts ruineux, écrasans, qui leur rendent presque impraticable tout effort un peu hardi, et sèment de tant de dangers les tentatives même les moins ambitieuses qui ont pour but de faire connaître au public des talens nouveaux ou des productions nouvelles.

    Leur Association a donc pour but moral de créer des ressources contre l’infortune qui trop aisément peut atteindre ses membres, et pour but artiste de faire en musique de ces grandes choses dont les Allemands et les Anglais nous ont pendant si longtemps donné l’exemple inutilement. La seconde de ces deux propositions concourt naturellement à la résolution de la première, et produit encore un autre résultat non moins important au point de vue de l’art ; elle tend à faire l’éducation musicale du peuple, à lui donner l’intelligence de la poésie des sons, à éveiller en lui les instincts qui sommeillent, à lui donner des goûts plus élevés que ceux qui furent les siens jusqu’ici. Malheureusement la majeure partie des forces que l’Association déploie en pareille circonstance vient se briser et se perdre contre les obstacles matériels que les musiciens en France sont condamnés à trouver à chaque pas.

    L’Association a donné de magnifiques concerts à l’Opéra, et bien que la recette fût énorme et le concours des cinq cents exécutans gratuit, les autres frais et l’impôt ont réduit leur bénéfice à fort peu de chose. Cette fois-ci grâce à la générosité de MM. Franconi et Ferdinand Laloue, propriétaires de l’Hippodrome, ils avaient à leur disposition un local immense gratuit ; de plus, comme ce local est situé hors des barrières et ne dépend plus de l’administration de la ville de Paris, mais bien de celle de Passy, ils ont pu profiter de la bienveillance du maire de cette commune, qui a réduit l’impôt du concert à une somme très modique. Voilà qui est bien sous un rapport, mais sous un autre il n’en est plus de même. L’Hippodrome n’est qu’une enceinte à ciel ouvert ; il en résulte que le colossal orchestre de dix-huits cents instrumens à vent, c’est-à-dire le plus puissant qui ait jamais été entendu, a dû jouer à peu près en plein air. Or, je l’ai dit bien des fois et je le répète, la musique en plein air est une chimère ; le nombre et la force des producteurs de son seront toujours insuffisans à remplacer les réflecteurs au moyen desquels le son se concentre, se replie sur lui-même, se condense et acquiert par sa condensation cette force vitale qui en fait toute la puissance et tout le charme. Cent cinquante instrumens à vent dans une salle fermée eussent produit un effet plus complétement musical que les dix-huit cents musiciens de l’Hippodrome jetant leurs harmonies à tous les vents.

    Cependant l’espace considérable occupé par cette armée, la masse d’air mise en vibration, la multitude innombrable d’unissons, ne pouvaient manquer, eu égard à la force ascensionnelle du son, de faire naître des effets d’une beauté remarquable pour toutes les personnes placées dans les rangs élevés de l’enceinte de l’Hippodrome. Elles ont dû à certains momens être vivement impressionnées. Celles qui occupaient au contraire les rangs inférieurs entendaient fort mal, et la cause en est facile à saisir : les musiciens étant tous placés horizontalement sur l’arène, et en rangs assez serrés, étouffaient eux-mêmes les sons, et l’on sait qu’il n’y a pas de sourdines comparables au sable, aux habits et aux corps humains. C’eût été certes quelque chose de vraiment inouï, que cette masse instrumentale si on avait pu la placer dans les conditions d’acoustique que la musique exige impérieusement. Mais où la mettre et comment la disposer ? Avons-nous une salle de concert ? et dans l’Hippodrome même pouvait-on établir un plancher, bâtir un amphithéâtre qui eût permis à l’orchestre de retentir dans toute sa majesté ? 30,000 fr. y eussent à peine suffi, et la caisse de la Société n’est pas encore assez riche pour qu’on pût songer à une pareille mise de fonds. Il a bien fallu que les pauvres musiciens acceptassent encore les conditions qui leur étaient accordées, puisque la loi française ne fait que les tolérer, et que la capitale de la France n’est pas assez riche pour avoir une grande salle de concert.

    Et pourtant il y a quelque chose de bien beau dans ces immenses réunions qui donnent une idée des fêtes antiques. Non seulement la puissance de la musique y éclate avec une pompe incomparable (quand rien ne s’oppose à sa manifestation), mais les impressions de l’auditoire deviennent aussi bien plus vives et grandissent en se propageant sympathiquement. En Allemagne, où la musique est honorée, ces fêtes s’organisent avec une sorte de religion ; tout s’y passe convenablement, tout y est disposé dans l’ordre le plus parfait et le plus logique. Aussi l’effet répond-il à ce qu’on a le droit d’attendre des moyens qu’on emploie ; ce sont de véritables banquets d’harmonie donnés à une population qui en jouit pleinement, dignement, et avec tout le bonheur d’une belle passion satisfaite. Nous nous imaginons en France que tous les Allemands sont calmes et froids, c’est une grande erreur. Il faut voir les publics de Vienne et de Prague surtout, quand une œuvre puissante les élève et les illumine, quand le vertige musical les saisit, quand le souffle de l’inspiration les entraîne, il faut voir tous ces bras s’agiter, entendre ces voix frémissantes, sentir ces salles trembler sous la tempête des applaudissemens, pour se faire une idée du véritable enthousiasme, et de la joie que donne au cœur des artistes le spectacle des émotions qu’ils peuvent causer. C’est alors qu’ils sont fiers d’appartenir à la famille de ceux qui remuent les âmes en remuant des idées ; c’est alors qu’il se sentent capables de patienter, d’attendre, de souffrir, de mourir plutôt que d’abandonner la tâche qui leur fut dévolue par la nature, l’exercice constant, entier, complet de leur intelligence et de leur génie, tâche sublime qui est aux autres travaux de la vie humaine ce que l’amour, le grand amour des héros et des poëtes, est aux liens honnêtes et respectables qui n’ont pour but que de perpétuer l’espèce et d’accroître la force des Etats.

    Et pourquoi, nous Français, nous laisserions-nous dépasser en quoi que ce soit par les peuples voisins ? Que nous manque-t-il pour les égaler, pour les surpasser même ? Nous avons l’intelligence vive et rapide des choses, nous avons la sensibilité, nous avons la volonté héroïque, cette volonté plus forte que le fer et l’acier, qui ne plie ni ne rompt ; nous sommes nombreux, nous sommes actifs, nous sommes adroits et forts. Que nous manque-t-il donc ? Il nous manque le sérieux, la gravité, la sérénité, il nous manque les qualités qui rendent l’adolescent supérieur à l’enfant, le jeune homme supérieur à l’adolescent, et l’homme supérieur au jeune homme. Il nous manque le mépris des petites passions, des petites idées, des petites choses. Il nous manque d’examiner au lieu d’entrevoir, d’écouter au lieu d’entendre, de penser avant de parler ; il nous manque le dédain des railleries et des misérables succès qu’elles obtiennent ; il nous manque de croire et de croire fermement que l’esprit qui crée est supérieur à celui qui détruit, que l’instinct du castor est fort au-dessus de celui des singes ; il nous manque d’être honteux, confus, rougissans, humiliés, confondus d’avoir érigé en école le cynisme, d’avoir porté sur le pavois le représentant de toutes les souillures, le pilote des lacs de boue, le sale et malheureux Robert Macaire, cet étrange héros du peuple parisien.

    Il nous a manqué enfin jusqu’ici de profiter de l’exemple frappant qu’à ce sujet nous avons sous les yeux, celui de l’acteur célèbre qui créa ce trop célèbre rôle. Artiste supérieur, par la pensée, par l’exécution, par la verve, par la profondeur, à la hauteur de tous les caractères, de toutes les poétiques figures, véhément, noble, touchant, irrésistible, terrible, Frédérick Lemaître lutte avec peine et avec un chagrin toujours croissant contre les souvenirs que ce rôle ignoble de Macaire a semés sur ses pas ; il craint encore, en jouant Ruy-Blas ou le mélancolique Edgard de Ravenswood, qu’on ne retrouve dans sa voix émue quelques sons de l’organe enroué du compagnon de Bertrand ; les haillons de Robert sont devenus pour lui la tunique du Centaure, et il ne les peut arracher de ses robustes épaules qu’avec des lambeaux de sa chair. Mais c’est un enseignement qui doit porter ses fruits ; nous ne pouvons tarder, j’en ai la conviction, à sortir de cette voie bourbeuse, à répudier l’usage de cette langue qui ne sait que railler, insulter et maudire ; de ce honteux argot qui, descendu des tréteaux dans la boutique de l’artisan, dans l’atelier de l’artiste, dans le cabinet de l’écrivain, semblait prétendre, à Paris du moins, à remplacer la langue française. Non, le macairisme a fait son temps ; il eut trop large pâture, il meurt d’indigestion. Coupons la tête au boa constrictor, et que sa peau nous serve d’armure défensive contre tant d’autres, reptiles que notre marche au travers des forêts vierges de l’art ne manquera pas d’effaroucher. Pensons que nous sommes grands, que nous devons marcher la tête haute et fixer nos regards en avant, au lieu de nous fatiguer en gambades grotesques et de nous courber vers la terre, cherchant le caillou que l’envie et la sottise aiment à jeter avec des huées aux travailleurs puissans et attentifs. Songeons à ce que nous sommes, au nom que nous portons, et nous devrons dire : « Le peuple qui a fait les guerres de la République et de l’Empire, celui qui, en trois jours, a renversé une antique dynastie et rasé les épaisses murailles dans lesquelles on voulait le parquer, le peuple vers lequel, dans les crises sociales, tous les peuples du monde se tournent, soit qu’ils le redoutent ou l’admirent, soit qu’ils veuillent le combattre ou l’imiter, ce peuple est manifestement destiné à être grand dans l’art comme il est grand dans la guerre, comme il fut grand en noble obstination lorsque, portant par l’Europe étonnée le flambeau de la civilisation, il eut la constance de s’en laisser brûler plutôt que de l’abandonner ou de l’éteindre, comme il est grand par la science et par l’industrie. » Et de plus nous reconnaîtrons, nous qui craignons si fort l’arme du ridicule, que le moment approche où, s’il en était autrement, si nous restions pour l’art dans une infériorité même relative, une immense risée partirait des quatre coins de l’Europe, que la jeune Amérique elle-même oserait nous siffler du bord des Océans, et qu’on nous donnerait enfin, pour employer un terme de circonstance, le festival du ridicule.

    Paris possède des ressources musicales incalculables dont la puissance n’est pas même encore entièrement connue, leur action ayant été plus ou moins paralysée jusqu’ici. Avec le moindre encouragement, une protection éclairée, un peu de liberté et de justice, nos musiciens feraient des miracles. La tentative de vendredi dernier en est une preuve que la bienveillance de M. le duc de Montpensier leur a permis de fournir. On a tout d’abord commencé par dire : 1,800 musiciens ne pourront rien exécuter avec ensemble, ils ne seront pas d’accord, ils ne produiront qu’une monstrueuse cacophonie. L’expérience a démenti complétement ces fâcheuses prévisions. L’ensemble a été presque toujours satisfaisant, la justesse n’a que très rarement laissé à désirer, et l’exécution telle que nous l’avons entendue doit paraître d’autant plus surprenante, que parmi ces musiciens des régimens, il n’y en avait pas un peut-être qui eût jamais de sa vie pris part à un grand ensemble musical de cette nature. Le premier morceau (un pas redoublé de Brepsant) a été dit avec une précision vraiment miraculeuse ; et pour nous qui occupions le centre de l’orchestre, le solo de la seconde reprise, exécuté par 150 trombones à l’unisson, avait l’air d’un chant de guerre de Titans marchant à l’escalade de l’Olympe ; c’était sublime. Ce morceau, d’ailleurs, est fort bien composé. J’en dois dire autant de celui de M. Mohr, qui a produit beaucoup d’effet. Quant aux marches de Fernand Cortez, arrangées avec talent pour l’orchestre militaire par M. Klosé, on ne pouvait douter de leur succès ; Spontini est le père de la musique guerrière, et Cortez, si des accens pareils avaient pu appeler ses soldats à la conquête du Mexique, n’eût pas eu besoin de brûler ses vaisseaux. La prière de Moïse, ingénieusement arrangée par M. Fessy, a impressionné l’auditoire, mais beaucoup moins cependant qu’elle ne le fit, il y a deux ans, au festival de l’Industrie, avec nos masses de harpes et de voix ; ce morceau a besoin d’être chanté. Le chœur de Judas Macchabée, au contraire, n’a rien perdu à l’arrangement instrumental ; c’était d’une rare splendeur religieuse ; on croyait entendre une vaste cathédrale retentir du chant de victoire de dix mille voix. Je ne puis que remercier les musiciens et leur chef, M. Tilmant, pour leur belle exécution de mon morceau l’Apothéose. Les deux valses et la chasse n’ont pas paru convenablement placées dans un pareil programme. Il y a réellement quelque chose de choquant à voir un si gigantesque orchestre employé à l’exécution de morceaux d’un style au moins très familier. L’ouverture de Fra-Diavolo, fort difficile à cause des détails qu’elle contient, a marché avec autant d’ensemble que s’il n’y avait eu que quarante musiciens et a fait à tout le monde un extrême plaisir ; le solo de trompette, surtout, a été remarqué. A propos des trompettes, croirait-on que, par suite de je ne sais quelle aberration qu’on ne peut trop sévèrement qualifier, elles sont devenues les instrumens les plus rares de nos musiques militaires ? Il y a même une foule de régimens d’infanterie qui n’en ont pas du tout. Et par quoi prétendrait-on les remplacer ? Ce n’est pas par des violons ni des guitares probablement ? Quel instrument possède un timbre plus essentiellement guerrier, plus éclatant, plus fier, et des sons à plus longue portée que la trompette ? Dans les musiques militaires autrichiennes, dont la sonorité et l’harmonie sont excellentes, il y a toujours, pour la moindre bande, sans compter les trois flügel-horn, sept parties de trompettes, tandis que celles des nôtres qui en ont conservé en possèdent deux tout au plus et souvent une seule. En vérité, c’est de la démence ! Il faut absolument revenir là-dessus.

    On a généralement blâmé, dans la disposition de l’orchestre à l’Hippodrome, la diffusion des instrumens aigus. Les petites flûtes et les petites clarinettes (trop peu nombreuses d’ailleurs) se trouvaient séparées les unes des autres par un intervalle de vingt ou trente pas. Etait-il possible d’obtenir de l’ensemble pour les traits et les ornemens mélodiques confiés aux instrumens les plus perçans de l’orchestre ainsi disséminés ? Je ne le crois pas. Le comité a été déterminé à adopter un pareil ordre par la crainte que la présence des chefs de musique, qui jouent presque tous de la petite clarinette, ne fût indispensable à la tête de leur corps pour y maintenir la discipline. Et en cela je pense qu’on s’est étrangement trompé ; ces braves soldats sont d’une soumission, d’une patience et d’une attention incomparables, et, sous ce rapport, j’aimerais certes bien mieux avoir à diriger dix mille musiciens militaires que cent artistes des théâtres de Paris. En tout cas, on pouvait aisément suppléer à l’absence des chefs de musique par des officiers d’un grade égal ou supérieur au leur ; et puis, on fait de la musique ou on n’en fait pas ! Quand on en fait, il faut absolument prendre les moyens indiqués pour la faire aussi bonne que possible, surtout quand on a ces moyens sous la main. Quoi qu’il en soit de ces observations, que les critiques très compétens ont faites comme moi, il faut déclarer que, pour une première tentative de ce genre, le résultat a dépassé toutes les espérances, et qu’il fait grand honneur au président de la Société, M. le baron Taylor, et à MM. Massart, Klosé, Léon Kreutzer, Bureau, Bechem, Raoux et Maurice Bourges, qui ont presque exclusivement consacré leur temps (Massart surtout) aux préparatifs de la fête, pendant les trois mois qui viennent de s’écouler. La mise en scène était en outre fort belle et admirablement réglée, ces uniformes de couleurs et de formes diverses, groupés en compartimens réguliers, ces drapeaux, ces casques étincelans, cette fourmilière d’instrumens de cuivre réfléchissant les rayons du soleil, et autour d’eux ce peuple immense qui garnissait les gradins et une partie de l’arène de l’Hippodrome, tout cela formait un coup d’œil magnifique et qui a paru frapper vivement M. le duc de Montpensier quand il est entré dans sa loge avec le ministre de la guerre. C’était une fête digne de Paris sous beaucoup de rapports ; elle nous en promet d’autres qui pourront être dignes de la France, si on permet aux artistes de les lui offrir. Les chefs de musique des divers régimens d’infanterie et de cavalerie ont rivalisé de zèle et de patience dans les répétitions préparatoires qui ont précédé ce grand congrès instrumental. Ce succès doit les récompenser de leurs efforts et donner aux artistes qu’ils dirigent une émulation et un amour de leur tâche qui peut-être leur avait manqué jusqu’ici. Ceux des légions de la garde nationale les ont vaillamment secondés. Nous croyons devoir faire connaître les noms des régimens et des légions dont les musiciens ont figuré activement à l’Hippodrome vendredi dernier. Les voici :

Troupe de ligne.   Garde nationale.  
  Chefs MM.   MM.
4e d’infant... Viala. 1re légion … Louis.
9e ……….. Schillé. 2e ……….. Barizel.
11e ………. Ennès-Berr. 3e ……….. Meifred.
14e ………. Maréchal. 4e ……….. Landelle.
16e ………. Garrouste. 5e ……….. Fessy.
23e ………. Verzinger. 6e ……….. Moudrux.
24e ………. Berr. 7e ……….. Lamour.
25e ………. Sweingrüber. 8e ……….. Claveau.
26e ………. Luce. 9e ……….. Bauller.
35e ………. Renault. 10e ………. Klosé.
37e ………. Guerra. 11e ………. Dossion.
45e ………. Declerk. 12e ………. Tolbecque.
46e ………. Dallée. 2e (banlieue) Dorus.
48e ………. Henricet. 3e ……….. Dumouchel.
52e ………. Goecke.    
72e ………. Blanckman. Les principaux élèves du  
73e ………. Regheer. Gymnase militaire  
74e ………. Sarrus. (chef, M. Rakoski).  

Cavalerie.

3e dragons.. Gentil. 4e lanciers... Péclier.
4e ………. Marotel. 5e d’artillerie Landfersicht.
7e ………. Nachbaur. 8e hussards.. Usse.

    La recette s’est élevée à plus de 25,000 fr. Le prince de Salerne a envoyé 200 fr. pour sa loge, et M. le duc de Montpensier 500 fr. pour la sienne.

H. BERLIOZ.

Site Hector Berlioz créé le 18 juillet 1997 par Michel Austin et Monir Tayeb; page Hector Berlioz: Feuilletons créée le 1er mars 2009; cette page ajoutée le 1er novembre 2015.

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